Introduction
Il y a encore quelques décennies, confier votre argent à un fonds, c’était l’équivalent de céder votre liberté d’investissement. Vous apportiez les ressources, et le gérant s’occupait de tout (décisions, placements, stratégies) avant de vous ponctionner des frais parfois exorbitants. Aujourd’hui, grâce à Internet et aux fintechs, l’investisseur reprend le contrôle. Vous allez voir pourquoi c’est un vrai changement de paradigme et comment vous pouvez devenir acteur de votre fortune.
Les frais de la finance traditionnelle : un modèle encore en place, mais contesté
De nombreux fonds gérés activement appliquent encore une structure dite "2 et 20" : 2 % de frais de gestion annuels sur les actifs sous gestion, quel que soit le résultat, et 20 % de frais de performance sur les bénéfices réalisés.
Ces frais peuvent considérablement réduire le rendement final pour l’investisseur. Sur un gain brut de 10 %, 2 % est ponctionné d’emblée, puis 20 % des gains restants, ce qui réduit nettement la performance nette.
Les frais de gestion traditionnels sont de plus en plus remis en cause. Selon le Financial Times, les investisseurs institutionnels contestent ce modèle, et les flux vers les fonds traditionnels reculent fortement, au profit de solutions moins coûteuses. Il faut croire que les gens ont réalisé que ces fonds servent à rendre les gérants riches, pas les investisseurs.
Pourquoi ces fonds existaient : un monde avant l’ère de l’information
Jusqu’aux années 1990, l’accès à l’information financière était limité. Les cours de bourse étaient publiés dans les journaux du lendemain, les rapports financiers circulaient par courrier, et seuls les initiés pouvaient analyser efficacement les marchés.
Les fonds d’investissement sont nés dans ce contexte avec l'objectif initial de mutualiser les ressources des épargnants pour leur offrir un accès aux marchés et une diversification impossible à obtenir individuellement. Premier exemple : le Massachusetts Investors Trust (1924), premier fonds commun de placement moderne, est apparu pour permettre aux petits épargnants de déléguer à des experts. Pourquoi ils étaient incontournables ? Sans Internet, il était pratiquement impossible pour un particulier de suivre en temps réel les marchés ou de construire un portefeuille diversifié seul.
En clair, ces fonds étaient le seul pont vers les marchés financiers pour le grand public. Mais cela avait un prix, à savoir la dépendance totale aux décisions du gérant, l'opacité, et des frais élevés.
Internet change la donne
Avec l’arrivée d’Internet et de l’informatique personnelle dans les années 1990, l’asymétrie d’information s’est réduite.
Les courtiers en ligne ont permis d’acheter et vendre directement depuis chez soi, à frais réduits. Les fonds indiciels cotés (ETF), popularisés par des acteurs comme Vanguard et surtout iShares (filiale de BlackRock), ont offert un accès à des portefeuilles diversifiés pour des frais dérisoires. L’information en temps réel (sites spécialisés, données de marché en ligne) a rendu l’investisseur beaucoup plus autonome dans ses choix.
BlackRock, fondée en 1988, a joué un rôle clé dans cette transition, en combinant innovation technologique (plateforme Aladdin) et produits accessibles (iShares). Résultat : un transfert progressif du pouvoir, des gestionnaires vers les investisseurs.
Les plateformes participatives changent les règles du jeu
L’immobilier a longtemps été à la traîne.
Pendant que la finance voyait émerger les courtiers en ligne, les ETF et les robo-advisors, l’investissement immobilier restait figé dans des pratiques d’un autre temps : visites physiques, rendez-vous chez le notaire, paperasse interminable, tickets d’entrée astronomiques.
Pourquoi ce retard ?
Parce que digitaliser l’immobilier, ce n’est pas juste coder une app. Cela demande de revoir en profondeur les modèles d’affaires, de garantir la sécurité juridique des transactions et d’offrir une transparence totale sur des actifs complexes.
Mais ce temps est révolu.
Aujourd’hui, des plateformes comme Terys permettent enfin de passer à l’action, sans complexité, sans frais inutiles et surtout sans se ruiner. Avec Terys, l’investisseur garde le contrôle de bout en bout :
- Vous choisissez votre projet immobilier selon vos critères : localisation, rendement, durée.
- Vous investissez dès 5 000 CHF, sans devoir mobiliser un demi-salaire ou hypothéquer votre résidence.
- Vous ne payez aucun frais, ni d’entrée, ni de gestion, ni cachés. Chaque franc investi travaille pour vous.
- Vous suivez vos rendements en temps réel depuis votre tableau de bord, comme dans un cockpit d’avion.
On parle ici de transparence radicale et de maîtrise totale, là où les fonds traditionnels brillent par leur opacité.
Prenons un exemple concret :
Vous investissez 20 000 CHF dans un projet de rénovation locative à Blonay. Le promoteur emprunte l’argent pour 12 mois, avec un taux d’intérêt annuel de 7 %. Chaque trimestre, vous recevez vos intérêts directement sur votre compte. À l’échéance, le capital est remboursé en totalité.
Pas de frais, pas de mauvaise surprise. Tout est prévu dès le départ.
Ce que cette évolution signifie pour vous
- Vous investissez dans la pierre, sans les tracas habituels
- Vous optimisez votre rendement, en éliminant les frais superflus
- Vous construisez des revenus passifs, sans sacrifier votre temps libre
Conclusion
La finance traditionnelle imposait des décisions centralisées, coûteuses et opaques. À l’inverse, les plateformes participatives comme Terys mettent en place une finance horizontale, transparente, accessible où vous êtes l’acteur principal. Résultat : plus de pouvoir, moins de frais, et vous récoltez la plus grosse part des fruits de votre investissement.
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