Skip to Content

Pourquoi les célébrités finissent fauchées

31 octobre 2025 par
Pourquoi les célébrités finissent fauchées
Daniel Alvarez

Imaginez : à 27 ans, Johnny Depp est déjà l’un des acteurs les mieux payés d’Hollywood. Star de Edward aux mains d’argent, puis icône planétaire avec Pirates des Caraïbes, il signe des contrats de plusieurs dizaines de millions à chaque film. Dans la trentaine, il s’offre des îles aux Bahamas, une cave à vin estimée à plus d’un million de dollars, un yacht, des châteaux en France, et entretient un train de vie à plus de 2 millions $ par mois.

Résultat : à la cinquantaine, c’est la douche froide. Sa fortune, évaluée à 650 millions $, a fondu. Mauvaises décisions financières, dépenses incontrôlées, procès à répétition : il se retrouve endetté à plus de 100 millions $. Obligé d’accepter des films médiocres, il devient un exemple tragique de ce qui arrive quand on confond revenus exceptionnels et richesse durable.

Et il n’est pas seul :

- 78 % des joueurs de NFL sont ruinés dans les deux ans après leur retraite.

- 60 % des basketteurs NBA sont fauchés cinq ans après avoir quitté les parquets.

- Jusqu’à 70 % des gagnants de loterie se retrouvent en faillite quelques années plus tard.

Le message est clair : ce n’est pas celui qui gagne le plus qui reste riche, mais celui qui sait conserver et investir intelligemment.

Le bon exemple : l’importance d’investir plutôt que de seulement gagner

Jerry Seinfeld n’a jamais été une star de films à gros budget. Pourtant, il a compris quelque chose que la plupart de ses collègues ignorent : la vraie richesse, c’est la propriété intellectuelle et les revenus récurrents.

- Seinfeld, sa sitcom culte, lui rapporte encore aujourd’hui plus de 40 millions $ par an grâce aux rediffusions et aux droits de syndication, plus de 20 ans après la fin de la série.

- Contrat Netflix : 94 millions $ pour diffuser la série sur la plateforme.

- Spectacles de stand-up : plus de 100 millions $ générés.

- Portefeuille immobilier estimé à 40 millions $.

Résultat : une fortune dépassant le milliard de dollars. Pas parce qu’il a toujours gagné plus que les autres, mais parce qu’il a investi dans des actifs qui continuent de générer du revenu sans qu’il ait besoin de travailler.

Kobe Bryant : de star du basket à investisseur visionnaire

Kobe n’était pas seulement un athlète exceptionnel, c’était aussi un stratège financier.

- Gains de carrière : 323 M $ en salaires NBA, 357 M $ en contrats publicitaires (Nike, Sprite, Turkish Airlines).

- Dès sa retraite, il cofonde Bryant-Stibel, un fonds d’investissement doté de 100 M $ au départ, aujourd’hui gestionnaire de plus de 2 milliards $ d’actifs.

- Investissements majeurs : Epic Games (créateurs de Fortnite), LegalZoom, Alibaba, The Players’ Tribune.

- Il a aussi racheté 10 % de BodyArmor pour 6 M $… et revendu sa part à Coca-Cola pour 400 M $.

En d’autres mots : Kobe avait compris que le sport ne dure qu’un temps, mais que les entreprises et les actifs intelligemment choisis peuvent faire croître une fortune longtemps après la fin d’une carrière.

Ce que ces contrastes enseignent

Ces histoires illustrent une vérité implacable :

- Gagner beaucoup ne suffit pas : sans discipline ni vision, les plus gros revenus s’évaporent.

- Les revenus massifs sont souvent temporaires : qu’on soit acteur, athlète ou gagnant de loterie, le pic est bref.

- L’investissement intelligent change tout : posséder des actifs, générer du revenu passif et diversifier ses sources de gains assure la pérennité financière.

Comment appliquer cette leçon à votre vie

Vous n’êtes peut-être pas star d’Hollywood ni champion NBA. Mais le principe est le même. Chaque franc gagné peut :

1. Être dépensé (et disparaître).

2. Dormir sur un compte (et perdre de la valeur à cause de l’inflation).

3. Être investi pour générer de nouveaux revenus.

Et c’est là que l’immobilier prend tout son sens :

- Rendements réguliers en Suisse : 5 à 7 % par an.

- Protection contre l’inflation grâce aux loyers indexés.

- Appréciation du capital à long terme.

- Enrichissement “gratuit” grâce aux loyers qui remboursent votre prêt.

Conclusion

Les exemples de Johnny Depp, d’athlètes ruinés, et à l’opposé, de Jerry Seinfeld ou Kobe Bryant, montrent que la clé n’est pas dans ce que vous gagnez… mais dans ce que vous faites avec. La différence entre ruine et prospérité tient en un mot : investir.

Vous voulez commencer à investir intelligemment, même avec un petit capital ? Rejoignez notre communauté afin d'accéder à nos opportunités d'investissement immobilier à partir de 5'000 CHF. C'est gratuit et sans engagement, il vous suffit de cliquer ici