Imaginez une personne assise sur plusieurs centaines de milliers de francs. Un héritage, une vente immobilière, des économies. L’argent est là, mais il dort. Pourquoi ? Par peur.
Peur de mal investir. Peur de manquer de liquidités. Peur de ce que disent les journaux ou les experts de salon. Résultat ? L’argent dort et l’inflation, elle, se régale.
Mais cette peur est-elle vraiment justifiée, ou est-elle devenue une excuse confortable pour éviter de passer à l’action ?
Aujourd’hui, je vous montre pourquoi l’immobilisme coûte plus cher que l’investissement. Et surtout, comment en sortir.
Ne pas investir, c’est perdre. Même sans faire d’erreur
Ne rien faire, ce n’est pas neutre. C’est choisir de voir son argent perdre de la valeur.
En Suisse, l’inflation semble modérée, autour de 1 à 1,3 % selon les années. Mais sur une décennie, cela représente une perte de pouvoir d’achat de 10 à 13 %. Votre argent placé sur un compte en banque ne fait que fondre lentement. Et pendant ce temps, le marché immobilier grimpe.
Entre 2000 et 2021, les prix des appartements en Suisse ont augmenté de 94 %, ceux des maisons individuelles de 80 %. C’est colossal. Deux leviers puissants expliquent cela : l’appréciation du bien et les loyers réguliers que l’on peut encaisser.
Laisser son argent en banque crée une illusion de sécurité. En réalité, c’est un choix passif qui détruit votre patrimoine.
L’obsession du cash
On entend souvent : “Je préfère garder du liquide, au cas où.” Bien sûr, avoir un fonds d’urgence est sain. Mais faut-il vraiment immobiliser 18 mois de dépenses, voire plus ?
En réalité, un matelas de quelques mois suffit dans la majorité des cas, surtout si l’on dispose encore d'un salaire et d'une source de revenu grâce à des investissements.
Des investisseurs comme Grant Cardone recommandent même de rester “presque à sec” pour forcer l’argent à circuler et produire du rendement. Une approche à considérer mais que je ne recommande pas à titre personnel. Mais le point est là : l’argent liquide qui dort, c’est de l’argent qui meurt.
Le monde continuera de tourner
Je vois aussi très souvent des gens qui veulent commencer à investir mais sont vite refroidis par ce qu'ils voient aux infos. Ils ont peur de ce qu'il pourrait se passer si la Chine attaquait Taïwan. Ils ont peur que les taux d'intérêts augmentent. Ils ont peur que le baril de pétrole augmente. Ils ont peur qu'une crise soit imminente parce qu'un expert l'a démontré avec un modèle ultra-sophistiqué aux infos. Et la liste continue, tout est une bonne excuse pour ne pas passer à l'action.
Mais la réalité c'est que le monde continuera de tourner malgré tout et surtout que l'immobilier s'apprécie sur le long terme pour la simple raison que nous sommes de plus en plus nombreux et que l'offre de logement ne suit pas la cadence.
Même lors de la terrible crise de 2008, l'immobilier a tenu bon. Dans le pire des cas, il y a une petite correction durant une année ou deux avant que les prix continuent leur ascension. Et surtout, les gens continueront de payer leurs loyers.
Ce que vous appelez “risque” est souvent un simple manque de connaissances
Ce qui est risqué, ce n’est pas l’immobilier. C’est de s’y aventurer sans comprendre les règles du jeu. Or, en Suisse, les dynamiques sont claires :
- Les zones urbaines (Zurich, Genève, Lausanne) offrent stabilité et potentiel de plus-value.
 - Le rendement brut d’un immeuble locatif tourne entre 3 et 5 %.
 - Les biens en bon état, bien situés, restent très demandés.
 
Sur les 20 dernières années, l’immobilier a largement battu l’inflation et la plupart des autres placements. Ce n’est pas une promesse, c’est un constat chiffré comme le montre ce graphique comparant le rendement des actions et de l'immobilier suisse (base 100 en 1997):

Le vrai changement, c’est le mindset
Posez-vous une question simple : votre argent est-il plus en sécurité dans un compte bancaire ou dans un actif générateur de revenus ?
Le statu quo est confortable. Mais il est rarement stratégique. Voici comment enclencher le changement :
- Commencez petit. Avec Terys, vous pouvez investir dès 5’000 CHF dans un projet immobilier sélectionné.
 - Recalibrez votre fonds d’urgence. Quelques mois de dépenses suffisent dans la majorité des cas.
 - Faites circuler votre argent. Prêts participatifs, immeubles locatifs, projets diversifiés, etc. Il existe des solutions adaptées à chaque profil.
 - Informez-vous au lieu de fantasmer le risque. Le vrai danger, c’est l’ignorance.
 - Concentrez-vous sur les résultats concrets : stabilité, rendement net, revenu passif, levier du crédit.
 
Des fortunes paralysées par la peur
J’ai vu trop de gens figés. Ils avaient 200’000, 300’000 CHF ou plus sur leur compte. Mais ils attendaient. Ils voulaient “être sûrs”. Pendant ce temps, les prix immobiliers grimpaient de 80 à 94 % en vingt ans. Leurs liquidités ? Elles perdaient de la valeur.
Le danger n’était pas dans l’investissement. Il était dans l’attente.
Conclusion
- L’inaction face à l’inflation vous appauvrit, même si elle semble faible.
 - La peur de manquer de liquidités est souvent surévaluée.
 - L’immobilier reste le placement le plus tangible, stable et performant en Suisse.
 - Le véritable risque n’est pas d’investir. C’est de ne rien faire.
 
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