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Comment investir et prospérer dans un monde d’États surendettés

3 novembre 2025 par
Comment investir et prospérer dans un monde d’États surendettés
Daniel Alvarez

Imaginez que vous vous réveillez un matin et que votre compte en banque a perdu 20 % de sa valeur.

Pas parce que vous avez fait une mauvaise affaire. Pas parce que la bourse s’est effondrée. Mais simplement parce que l’argent que vous possédez ne vaut plus autant qu’hier.

Bienvenue dans le monde des États surendettés.


Des chiffres qui font trembler

  • États-Unis : plus de 34 000 milliards de dollars de dette publique, soit plus de 125 % du PIB.
  • France : environ 3 200 milliards d’euros, soit 110 % du PIB.
  • Allemagne : plus de 2 600 milliards d’euros, avec une dette qui repart à la hausse.

Et la Suisse ? Moins dramatique pour l’instant, avec une dette publique autour de 28 % du PIB. Mais soyons clairs : personne n’est à l’abri d’un emballement. Si l’inflation mondiale repart, nos frontières économiques ne suffiront pas à nous protéger.

En tout cas, il faudra laisser tomber l'idée que l'Etat va s'occuper de vous lors de vos vieux jours comme au bon vieux temps. Les retraites solidaires et autres systèmes de prévoyance deviendront soit anecdotiques ou auront simplement disparu.

Cela veut dire que vous devrez prendre votre avenir financier en main. Mais comment faire ? C'est ce qu'on va explorer dans cet article.


Pourquoi la dette publique mène (presque) toujours à l’inflation

Lorsqu’un État ne peut plus rembourser ses dettes par la croissance ou par des excédents budgétaires (autant dire, presque jamais), il lui reste deux options :

  1. Créer de la monnaie: imprimer des billets pour payer les créanciers. Facile, mais l’effet secondaire est inévitable : une perte de valeur de la monnaie, donc une inflation.
  2. Augmenter les impôts et réduire les services: prélever plus et dépenser moins. Résultat : un pouvoir d’achat en berne et des tensions sociales accrues.

L’histoire l’a prouvé maintes fois : l’inflation est l’arme de dernier recours des États surendettés. Et quand elle arrive, elle frappe ceux qui n’ont pas de plan de défense.


Ce que disent les “gourous” et la réalité

Face à ce contexte, certains investisseurs célèbres et la presse financière grand public recommandent souvent deux protections : les actions et l’or.

Sur le papier, ça se tient. En pratique, la réalité est moins belle.

Les actions

Oui, elles peuvent offrir de belles performances… mais au prix d’une volatilité extrême.

  • Certaines années, le marché gagne +25 % avant de perdre 20% l’année suivante.
  • L’inflation elle-même peut frapper certaines entreprises, en rognant leurs marges.
  • Et surtout : aucun revenu passif garanti. Si vous ne vendez pas, vous ne touchez rien.

Et en Suisse ? Le SMI a offert en moyenne 6 à 8 % par an sur le long terme, mais avec des secousses régulières. Ce n’est pas le genre de stabilité dont on a besoin quand les prix explosent.

L’or

On le présente comme une valeur refuge universelle. Mais entre 2021 et 2023, alors que l’inflation battait des records, l’or a baissé à plusieurs reprises.

  • Très volatil : il peut perdre 10 à 15 % en quelques mois.
  • Aucun revenu : chaque franc placé en or est un capital dormant.
  • En période d’inflation, ne pas générer de revenu passif signifie voir son pouvoir d’achat s’éroder.

En clair, l’or ne protège pas aussi bien qu’on le croit. Il rassure psychologiquement, mais il ne vous paie aucune facture.


Le problème clé : l’absence de revenu passif

L’inflation n’est pas seulement une hausse des prix. C’est une baisse de votre pouvoir d’achat.

Et pour compenser, il faut un revenu qui augmente avec les prix. Ni l’or ni les actions ne vous le garantissent étant donné qu'elles ne vous donnent aucun revenu.

Ce qu’il vous faut, c’est une source de revenu passif indexé sur l’inflation, qui vous protège même sans vendre votre actif.


Et l’immobilier dans tout ça ?

C’est ici que les choses deviennent intéressantes. L’immobilier offre une combinaison unique d’avantages que peu d’autres actifs peuvent revendiquer :

  • Indexation des loyers : en Suisse, beaucoup de baux permettent d’aligner les loyers sur l’inflation. Quand les prix montent, vos revenus aussi.
  • Appréciation du capital : les biens immobiliers prennent généralement de la valeur avec le temps.
  • Effet de levier : vous investissez une partie du capital, la banque finance le reste. Et ce sont les locataires qui remboursent.
  • Protection en période de crise : la demande de logement reste constante. Les gens peuvent arrêter de voyager ou d’acheter des gadgets… mais ils auront toujours besoin d’un toit.

Et surtout : vous percevez un revenu mensuel, sans avoir à vendre.


Exemple concret

Vous investissez 100 000 CHF dans un immeuble de rendement à 500 000 CHF.

Vous financez 400 000 CHF par hypothèque.

Les loyers couvrent les mensualités et dégagent un revenu net. Disons 6 % de rendement net, soit 6 000 CHF par an.

  • Après quelques années, vous avez perçu plusieurs dizaines de milliers de francs de revenus.
  • Votre capital s’est valorisé grâce à l’effet de levier.
  • Et si les loyers sont indexés, votre revenu augmente avec l’inflation.

Mieux encore : vous ne dépendez plus uniquement de votre salaire.

Et si vous voulez pas acheter un immeuble vous-même, vous pouvez passer par des plateformes comme Terys et d'investir des petits montants dans des projets de promotion immobilière qui peuvent vous apporter aisément entre 7 et 10 % par an.


Pourquoi c’est maintenant qu’il faut agir

Attendre, c’est perdre. Chaque année de plus où votre argent dort sur un compte épargne à 1 %, c’est un peu de votre pouvoir d’achat qui s’évapore.

Aujourd’hui, des plateformes comme Terys.ch permettent d’investir dans l’immobilier dès 5 000 CHF, sans devoir gérer un immeuble soi-même. L’accès est plus simple, plus rapide, plus sécurisé.

Ce n’est plus une question de “si”, c’est une question de “quand”.


Conclusion

  • Les actions : potentiellement rentables mais trop volatiles, et aucun revenu garanti.
  • L’or : une protection imparfaite, très volatile, et sans revenu.
  • L’immobilier : stabilité, revenu passif indexé, effet de levier, protection contre l’inflation.

Le choix est clair : en période d’inflation, il ne faut pas fuir, il faut posséder. Posséder des actifs qui paient, mois après mois.

Si vous êtes prêt à passer à l'action, nous vous invitons à rejoindre notre communauté afin d'accéder à nos opportunités d'investissement. C'est gratuit et sans engagement, il vous suffit de cliquer ici.