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Tout ce qu’on vous a appris sur l’investissement est faux

2 novembre 2025 par
Tout ce qu’on vous a appris sur l’investissement est faux
Daniel Alvarez

Imaginez : vous avez 20 ans, un banquier vous dit, très sérieux, qu’il faut mettre 60 % de votre argent en actions et 40 % en obligations. Pourquoi ? « C’est la règle, Monsieur. » Vous hochez la tête, comme si on venait de vous révéler le secret des dieux.

Des années plus tard, vous vous rendez compte que votre portefeuille ressemble à un plat réchauffé sans goût. Vous avez tout bien suivi… et pourtant, votre argent n’a pas fait de miracle. Pire : avec l’inflation, il vaut même moins qu’avant.

Le problème avec les “recettes” toutes faites

Ces soi-disant règles universelles, allocation fixe, diversification à outrance, obligations comme bouclier, sont des formules rassurantes pour ceux qui ne veulent pas réfléchir. Elles font le bonheur des conseillers financiers, pas le vôtre.

C’est un peu comme si vous alliez chez un tailleur et qu’il vous donnait le même costume que le client précédent : même couleur, même taille, sans prendre vos mensurations. Résultat : ça flotte ou ça serre, mais ce n’est jamais parfait. Avec les méthodes modernes, se former, comprendre les vrais leviers et choisir une plateforme comme Terys, c’est aller chez un tailleur qui vous prend chaque mesure et vous taille un costume au millimètre près. Là, ça vous va, et ça vous met en valeur.

Warren Buffett lui-même le dit : « La diversification est une protection contre l’ignorance. » En clair : si vous savez vraiment ce que vous faites, vous n’avez pas besoin de mettre un peu partout. Vous vous concentrez là où vous avez un avantage.

Et puis, soyons honnêtes : votre banquier n’a aucun intérêt à ce que vous deveniez indépendant financièrement. Si c’était le cas, vous n’auriez plus besoin de lui.

La diversification : bonne pour les buffets, moins pour votre argent

Robert Kiyosaki explique que les riches se concentrent, les pauvres et la classe moyenne diversifient.

Pourquoi ? Parce que mettre de l’argent un peu partout revient à avouer qu’on ne sait pas où le mettre exactement. C’est l’équivalent d’un chef qui vide tout son frigo dans la même marmite et croise les doigts pour que ça ait du goût.

Le problème, c’est que cette “sagesse populaire” est enseignée partout : à l’école, dans les livres de finance “sérieux” et dans toutes les brochures bancaires. On vous vend l’idée que c’est moins risqué. En réalité, c’est souvent moins rentable, et surtout, ça dilue votre attention.

Les obligations : le Titanic du portefeuille

Les obligations d’État, c’était bien il y a quarante ans. Aujourd’hui, c’est un Titanic financier.

Taux d’intérêt à 1 %, inflation à 3 % : vous perdez 2 % de pouvoir d’achat chaque année, en dormant.

Dans les années 70, l’inflation a littéralement ruiné les investisseurs obligataires. Et pourtant, en 2025, on continue de dire à monsieur Tout-le-monde qu’il faut “sécuriser” son capital avec ça. Sécuriser ? Non. Laisser se faire grignoter, oui.

L’or et les devises : de faux super-héros

L’or, valeur refuge ? Peut-être, mais pas tout le temps.

Demandez à ceux qui en ont acheté en 2020 : deux ans plus tard, il stagnait ou baissait alors que l’inflation battait des records. Et les devises ? Elles sont le jouet des banques centrales et des crises politiques. Pas vraiment la base sur laquelle construire une liberté financière solide.

La voie des maîtres : se concentrer

Buffett concentre. Taleb parle de rechercher les asymétries : risquer peu pour pouvoir gagner beaucoup. Kiyosaki martèle que la concentration est ce qui enrichit.

Et là, vous devez vous demander : « Mais je concentre sur quoi ? »

Ma réponse est simple : sur un actif qui vous rapporte régulièrement, qui se valorise avec le temps et qui protège votre capital. En clair : l’immobilier de rendement.

Pourquoi l’immobilier bat tout le reste

- Revenu passif régulier : 5 à 7 % net par an en Suisse, qui tombent sur votre compte sans que vous ayez à vendre quoi que ce soit.

- Protection contre l’inflation : loyers indexés, prix stables même en temps de crise.

- Appréciation du capital : votre bien prend de la valeur avec le temps.

- Enrichissement gratuit : vos locataires remboursent votre prêt pour vous.

C’est ce qu’on appelle un actif “triple effet” : il rapporte aujourd’hui, il protège demain et il vaut plus après-demain.

Et surtout, contrairement aux actions ou à l’or, vous avez un contrôle direct : vous choisissez le bien, vous pouvez l’améliorer, le refinancer, bref, vous pilotez votre investissement.

Moralité : débranchez-vous du système

Oubliez les graphiques poussiéreux des manuels de finance. L’allocation parfaite n’existe pas. Ce qui existe, c’est un actif que vous comprenez, que vous contrôlez et qui vous enrichit pendant que vous dormez.

Concentrez-vous dessus. Faites-le bien. Et laissez les autres se rassurer avec leurs 40 % d’obligations et leur “diversification” qui ne mène nulle part.

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